Comme nous l’avons vu dans le reportage des familles entières travaillent tous les jours dans une briquèterie pour payer les dettes non réglées par leurs ancêtres au patron de l’usine, transmises de génération en génération.
Ces familles sont très pauvres au Pakistan. Ceux qui n’ont presque rien doivent rembourser le patron mais pourtant sans lui, ils ne survivraient pas.

Là-bas, tous les enfants même âgés de trois ans doivent travailler dur des journées entières à la fabrication de briques. Ils ne vont pas à l’école donc ils ne savent ni lire, ni écrire, ils ne connaissent pas l’alphabet ni bien parler la langue.
Ils commencent très tôt, à 5 heures du matin, après leur prière. Les enfants ont malheureusement des habits déchirés, ils n’ont pas de chaussures et peuvent attraper des maladies par leurs pieds nus. Dans leur travail, leurs conditions sont minables. Ils travaillent à côté de la fumée d’une usine. Cela pourrait être toxique.
Leur avenir n’est pas super. Les parents rêvent pour eux d’un avenir meilleur mais ils ont des dettes.
Ils travaillent beaucoup pour gagner de l’argent mais ils en gagnent très peu.
Une famille avec neuf enfants (neuf bouches à nourrir) gagne en moyenne 6€ par jour (3€ les mille briques).
Un enfant de six ans dit au journaliste qu’il préfèrerait être soldat que de travailler là.
Les enfants aimeraient faire autre chose mais ils ne peuvent pas.

Nous trouvons que c’est très triste.
Ils doivent être très malheureux. Ils ne mangent pas à leur faim.
Les enfants doivent être plus libres. Les enfants devraient s’amuser et seulement travailler à leur majorité.
Ils sont tous fatigués, ils en ont marre, ils préfèreraient être à l’école jouer et apprendre.
Les parents feraient mieux de garder l’argent pour la nourriture, les habits au lieu de payer leurs dettes. Ils ne les rembourseront peut-être jamais.
Pourtant il y a des lois contre le travail des enfants mais elles ne sont pas respectées ni appliquées. Ce cas d’enfances maltraitées fait partie des cas extrêmes sur notre planète.

Synthèse des avis pendant un débat en classe de cm2.